la fondatrice
Qui se cache derrière Nesati?
Floriane ROKIA est la fondatrice de Nesati, lancée en septembre 2020.
Mon histoire avec les plantes
Je viens d’une lignée qui caressait la terre, ma grand-mère paternelle se soignait avec les plantes et mon grand-père maternel cultivait son jardin où l’on pouvait trouver toutes sortes de légumes, de fruits et d’herbes aromatiques.
« Je me souviens du plaisir de partager des tisanes de plantes le soir devant la cheminée avec mes grands-parents. »
J’ai passé mon adolescence dans les patinoires, je pratiquais la danse sur glace. Une belle rencontre avec mon corps, son langage, mais aussi avec mon mental ce qui se traduisait par la recherche de performance. En tant que sportive de haut niveau, le corps est beaucoup sollicité. Cela m’a amenée à développer une certaine sensibilité à son fonctionnement avec ses hauts et ses bas.
Je me souviens… J’étais prête à mettre mon corps à rude épreuve. A l’époque sous contraceptif, en période de compétitions, je prenais ma pilule en continu pour ne pas être dérangée par ce cycle.
Vers 30 ans, j’ai commencé à ressentir le besoin de donner du sens à cette vie que je ne comprenais pas toujours. La maternité m’a reconnectée avec mon corps de façon plus douce et sensible.
Mon désir d’aider les femmes à mieux vivre leur cyclicité
« Avant je parlais avec mon corps. Aujourd’hui, j’écoute mon corps me parler. »
A présent, j’apprends à ralentir. Je trouve une paix intérieure qui me permet de m’accueillir telle que je suis avec bienveillance et gratitude. Mon bien-être de femme est devenu une priorité.
Résonne en moi un appel fort concernant les femmes et la manière dont je peux agir pour les soutenir.
Expérimentant différentes préparations à base de plantes tout en étudiant la médecine naturopathique, je me suis retrouvée à adoucir mes cycles menstruels avec des tisanes. La puissance des plantes et le rituel qu’elles procurent m’ont vraiment inspirée et constituent aujourd’hui le cœur de ma mission de vie.
« Et parce qu’il est toujours mieux d’incarner ce que l’on dit, j’ai décidé de créer Nesati. »
